s'est inquiété, tout d'abord, de la baisse de l'emploi scientifique prévue pour ces prochaines années, puis a souhaité connaître quels seraient les liens du CNRS avec l'Agence nationale de la recherche (ANR). Il s'est enfin interrogé sur la pertinence d'exclure les sciences du vivant et les technologies du logiciel du champ de compétences du CNRS.