Rappelant qu'il n'y a pas de bonnes méthodes, mais seulement de bons maîtres, M. Pierre Martin a souhaité que les projets de programmes laissent une large place à l'initiative des enseignants, même s'ils permettent aussi de définir un niveau d'exigence commun à tous. Ce souci d'équilibre doit également prévaloir s'agissant des différentes disciplines. Le sport a ainsi longtemps servi de variable d'ajustement. Sa juste place lui est aujourd'hui rendue, mais cela ne doit pas se faire aux dépens des autres enseignements, tout aussi essentiels.