a confirmé que le sujet méritait réexamen : il est possible d'attribuer les autorisations aux éditeurs, avec les obligations correspondantes, tout en gérant par ailleurs les ressources en fréquences. En sa qualité d'économiste, il a estimé qu'une ressource rare, si elle était gratuite, risquait d'être mal gérée. Après avoir évoqué les expériences étrangères de mise en concurrence des fréquences destinées à l'usage commercial, il a conclu en considérant que ce sujet n'était pas au coeur du présent projet de loi.