a rappelé les conditions dans lesquelles la Caisse avait pris une participation à hauteur de 2 % du capital d'EADS en acquérant, par vente à terme, 50 % de la participation détenue par le groupe Lagardère. Il a indiqué que, si du côté de la Caisse, cette opération s'était déroulée dans des conditions de régularité absolue, une enquête de l'Autorité des marchés financiers (AMF) sur un éventuel délit d'initié était en cours dont il convenait d'attendre les résultats. Il a cependant souligné que les effets de cette dépréciation sur les résultats du premier semestre 2006 restaient extrêmement limités.