En réponse aux critiques émises sur la pertinence d'une programmation jugée trop dense, M. Pierre Sellal a fait valoir l'efficience de la présidence française sur l'ensemble des sujets européens majeurs, contrairement à d'autres présidences. S'agissant de l'évaluation de ce programme, la PFUE a permis la prise de décision dans un certain nombre de domaines essentiels. Enfin, convenant de l'augmentation du coût de la gouvernance internationale, il a précisé que certaines dépenses sont susceptibles d'être évitées ou réduites afin d'éviter la redondance de certaines manifestations, et de limiter les coûts liés à l'itinérance des sommets. L'unité de lieu peut constituer une source d'économie. Il a illustré son propos par la PFUE de 2000 qui avait décidé d'organiser les conseils européens à Bruxelles.