a indiqué que son amendement n° 30 ne vise pas à aggraver la situation de la SNCF, qui devrait retrouver une logique de péréquation entre les lignes les plus rentables et les moins rentables, rendue aujourd'hui impossible par la stratégie de libéralisation économique imposée par le droit communautaire. Elle s'est, par ailleurs, inquiétée de l'impact sur les chaussées et les ouvrages de la généralisation de l'autorisation des poids lourds de 44 tonnes.