Je le sais par expérience : l'AFD, qui a l'argent, donc le pouvoir, supporte de plus en plus mal l'ingérence des ambassades, et c'est vers elle que nos partenaires se tournent pour trouver un appui. Ce n'est plus le ministre des affaires étrangères, par l'intermédiaire de son ambassadeur, qui décide de l'aide publique au développement !