Madame la ministre, j’ai pris note de votre réponse : qui vivra, verra !
Cela étant dit, je souhaite que votre volonté soit suivie d’effets. Si l’hôpital de Die doit fermer, un problème se pose pour les personnels : les chirurgiens ou les sages-femmes ne seront pas enclins à s’installer. Mais si, comme vous l’avez annoncé, un contrat territorial de santé est mis en place, peut-être seront-ils amenés à venir. C’est l’éternel problème : qui doit commencer et qui doit suivre ?
En tout cas, j’ai bien noté que vous ne vouliez pas fermer cet hôpital, qu’un contrat territorial de santé se mettait en place et que les élus y seront associés. J’espère figurer parmi les personnes consultées, car j’entends suivre tout cela avec beaucoup d’attention.