a fait valoir que certaines sociétés victimes de contrefaçon n'osaient pas communiquer sur la réalité et la dangerosité des produits contrefaisants, par crainte que les consommateurs y assimilent leurs produits originaux et s'en détournent.
Après avoir indiqué que les réseaux de contrefaçon allaient des grandes plates-formes de courtage en ligne aux marchés forains de la banlieue parisienne, M. Marc-Antoine Jamet a indiqué que les réseaux de grande distribution n'étaient effectivement pas irréprochables, faute de pouvoir toujours maîtriser leur chaîne d'approvisionnement.