Lorsque je présidais la Société centrale de banque, il y a des années de cela, nous passions tous les mois un examen des comptes devant un dirigeant de la Société générale, dont nous dépendions, et qui voulait à tout prix savoir si nos assez bons résultats étaient dus à nos actions ou simplement à l'évolution normale des choses. Je lui avais répondu que l'on a tout de même le droit d'avoir de la chance de temps en temps !