Cette fois, les choses sont particulièrement tortueuses, notamment pour ce qui est du financement du Grand Paris et du versement transport !
Enfin, sur le déficit. Il n'y a pas de baisse des dépenses, au contraire ; les recettes exceptionnelles sont discrétionnaires. La baisse affichée du déficit à 148,5 milliards d'euros est artificielle. La trajectoire fixée par la loi de programmation des finances publiques est déjà obsolète ! À la différence du rapporteur général, moi, je le dirai en séance publique. Il n'est pas question pour moi de participer à ce « conte de Noël » !