Le budget de l'agriculture, dont je suis chargé, est également chroniquement sous-évalué : il a fallu l'abonder de 27 % ! Le fonds de garantie assurantielle n'est pas budgété : en cas de crise ou d'accident, on demande des crédits ! Il faudrait prévoir en loi de finances initiale de quoi faire face aux dégâts non prévisibles.