après avoir mis en exergue la grande diversification du groupe en matière d'approvisionnement, a indiqué que l'absence de la France dans le projet Nabucco s'expliquait plus par des raisons politiques qu'industrielles. Déplorant la hausse très importante des coûts d'infrastructures (entre 30 et 80 % depuis deux à trois ans), il a jugé qu'il sera difficile de réunir les 5 à 6 milliards d'euros nécessaires pour mener à bien ce projet. Celui-ci est d'ailleurs confronté à des problèmes d'ordres technique, juridique et de rentabilité financière. En tout état de cause, le nouveau groupe GDF/Suez ne subira pas un préjudice important s'il ne devait pas faire partie du consortium international.