s'est étonné que l'Europe se retrouve dans cette impasse et a contesté la légitimité de la période transitoire de 18 ans évoquée par Mme Anne-Marie Idrac concernant la Chine. Il a jugé que, dans ces circonstances, les parlementaires risquaient d'adopter des attitudes aussi réservées voire hostiles que celles des citoyens à l'égard de l'Union européenne.