a fait part de la même inquiétude en soulignant l'écart entre la situation actuelle et la stratégie politique de lutte contre le terrorisme, énoncée par le Président de la République et le Premier ministre, et qui avait justifié l'intervention française en Afghanistan. Après avoir rappelé qu'il s'était rendu, au nom de la commission, en Afghanistan, il a conclu en indiquant que les changements stratégiques intervenus sur les objectifs et le déplacement de la menace terroriste sur d'autres théâtres comme le Yémen ou la bande sahélienne devaient se traduire par un désengagement militaire de la France en Afghanistan.