s'est ensuite interrogé sur le dispositif français de négociation sur le concept stratégique de l'OTAN.
Par rapport au projet de défense européenne, on assiste à des déclarations opposées comme celle du secrétaire général, M. Rasmussen, pour lequel l'OTAN est un forum sur les questions de sécurité mondiale et celle du ministre des affaires étrangères allemand qui prône l'instauration d'une armée européenne sous plein contrôle parlementaire. Il a également demandé des précisions sur le coût budgétaire du retour de la France dans l'OTAN, le poids de sa contribution annuelle et sur l'impasse de 640 millions de dollars du budget de l'organisation en 2010.
Enfin, il a souhaité que le ministre puisse faire un point sur les négociations des nouveaux accords de défense avec l'Afrique et sur leur examen par le Parlement.