Sur le cinéma d'auteur, monsieur Leleux, nous n'avons pas passé d'accord formel, mais avons pris des engagements : le principe d'une diffusion en première partie de soirée a été accepté, en contrepartie de quoi nous nous sommes engagés à continuer de consacrer 3,5 % de notre chiffre d'affaires à la production cinématographique, et à diffuser plus de 80 % de films d'art et d'essai sur l'ensemble de la programmation cinéma annuelle, en version originale sous-titrée. Nous nous engageons, en outre, à conforter notre budget d'acquisition, pour que la diffusion ne se fasse pas au détriment du coût des films.