regrettant que la Commission européenne soit guidée principalement par la volonté d'accroître la concurrence sur le marché du vin, a plaidé pour que l'évolution des pratiques oenologiques soit raisonnée, justifiée et proportionnée aux buts recherchés. Il a craint en outre que les conditions de la concurrence entre les producteurs français et étrangers soient faussées par la mesure débattue.