a marqué sa préférence pour une évaluation a posteriori de la loi plutôt qu'une étude d'impact préalable confiée à des experts susceptible de restreindre les marges de manoeuvre des parlementaires, en justifiant par avance le bien-fondé des projets soumis à leur vote.
Abondant dans ce sens, M. Jean-Pierre Sueur a indiqué qu'il appartenait au Parlement, et non à des services ministériels ou des cabinets extérieurs, d'analyser l'impact des textes, et ce par un travail préalable approfondi fondé sur l'audition de tous les professionnels concernés, à condition de disposer de délais d'examen suffisants.
a jugé légitime de demander au gouvernement une publication rapide des décrets d'application, reconnaissant toutefois que le défaut de clarté des certaines dispositions législatives faisait parfois échec à cette publication.