a insisté sur la nécessité pour RFI de rattraper son retard de compétitivité sur le plan technologique. Il a souligné que le passage des ondes courtes aux ondes moyennes relevait d'un débat essentiellement dépassé et qu'il était désormais indispensable pour la radio de prendre la pleine mesure de la révolution numérique.
A titre d'exemple, il a relevé qu'un nombre significatif de Chinois écoute la radio sur Internet, dans un pays où les ondes courtes sont facilement censurables ; c'est également le cas de 23 % des leaders d'opinion iraniens. En outre, il a constaté que 4,4 milliards de personnes, dans le monde, accèdent désormais à l'information via Internet et la téléphonie mobile. Ces éléments doivent conduire RFI à relancer ses efforts pour relever le défi de la production numérique de ses contenus.