a regretté que le conflit social en cours conduise au blocage de RFI qui connaît à l'heure actuelle sa cinquième semaine de grève. Il a déploré que trois syndicats (la Confédération générale du travail, le Syndicat national des journalistes et Force ouvrière) refusent de revenir à la table des négociations et organisent la reconduction quotidienne de la grève, alors même que la principale organisation syndicale -la Confédération française démocratique du travail- et la Confédération générale des cadres continuent de négocier avec la direction en vue d'améliorer les conditions des départs volontaires. Il a dénoncé le fait que, depuis plus de dix ans, le recours systématique au conflit social a servi de technique d'obstruction pour faire échouer les tentatives des directions successives de moderniser RFI. Il a réaffirmé son entière détermination, partagée par Mme Christine Ockrent, à conduire les réformes nécessaires pour assurer la pérennité de la station.