a estimé que les interrogations de l'opinion portaient sur deux grandes séries de question : la durée de notre engagement en Afghanistan et les moyens dont nous nous dotons pour parvenir aux objectifs. Il s'est demandé dans quelle mesure la communauté internationale devait se fixer un objectif de temps pour sa présence en Afghanistan et il a souhaité qu'au cours du prochain débat devant le Parlement, le Gouvernement puisse préciser les moyens sur lesquels il appuiera sa politique, tant sur le plan militaire qu'en termes d'action diplomatique.