a estimé que le système de recherche français dans le domaine du vivant est trop fragmenté entre différents organismes publics, qui protègent chacun leurs prérogatives, pour être réellement efficace. Les besoins en chercheurs, considérables en matière de maladies émergentes, auraient dus être anticipés, car il est utopique de vouloir aujourd'hui former rapidement une nouvelle génération de chercheurs.