Evoquant le dispositif des zones rurales profondes, M. Alain Chatillon a plaidé pour une aide destinée aux entreprises existantes, l'arrivée d'entreprises nouvelles demeurant souvent un objectif impossible à atteindre. Faisant valoir que 58 000 hectares de terres agricoles disparaissent chaque année au profit de l'industrialisation et de la construction, il a souhaité que, comme en Allemagne, la loi mette en place des dispositifs optimisant la consommation d'espaces naturels.