S'inquiétant de ce que l'Etat, à travers l'article 24 relatif à la qualité écologique de l'eau, se prive de la possibilité de recourir aux reports de calendrier autorisés, contrairement à la stratégie d'anticipation des Pays-Bas, Mme Odette Herviaux s'est en revanche félicitée des dispositions sur les périmètres de captage, tout en soulignant que les effets ne s'en feraient sentir qu'à moyen terme. Estimant que les agriculteurs vertueux qui utilisent les déjections animales pour réaliser des économies d'énergie devaient être aidés, elle a jugé que certaines communes rurales devaient être incitées à recourir à des systèmes d'assainissement non collectif et a réclamé des mesures plus ambitieuses en faveur des petites centrales électriques.