est alors intervenu pour suggérer que les collectivités fassent appel à des cabinets privés, capables notamment de mettre en place, plus rapidement que l'administration, des périmètres de protection. Il a par ailleurs considéré que la crise actuelle n'était pas comparable à celle de 1929 : si le pouvoir d'achat avait alors subi une chute de 50 %, la situation actuelle va bénéficier d'une meilleure transparence et de la protection de l'euro. Dans ces conditions, a-t-il estimé, le soutien à l'investissement permet de préserver l'emploi et donc de favoriser la consommation. Il a enfin incité les acteurs locaux à ne pas hésiter à saisir les préfets, voire le ministre, pour faire accélérer les procédures.