s'est félicité de la présentation par le secrétaire d'État d'un tableau transversal synthétisant les crédits de la francophonie pour l'année 2010, répondant ainsi à la demande constante de la commission d'une plus grande lisibilité du budget de notre politique d'influence linguistique et culturelle à l'étranger. Il a ensuite sollicité des précisions concernant :
- la transparence, le suivi et l'évaluation de l'utilisation des crédits des opérateurs de la francophonie, auxquelles la France est, de loin, le premier contributeur ;
- le recours à la coopération décentralisée comme levier de la stratégie d'influence culturelle et linguistique de la France à l'étranger, notamment au niveau des territoires ultra-marins qui constituent une fenêtre de rayonnement exceptionnel dans les régions voisines en développement ;
- les modalités du regroupement des personnels de l'OIF dans la Maison de la Francophonie à Paris, en précisant le montage financier retenu, les participations respectives de l'OIF et de l'État français au financement de cette opération et le montant estimé des travaux.