Non malheureusement.
Notre collègue Alain Gournac a regretté tout à l'heure, avant le début de notre réunion, que notre délégation n'ait pas pris position dans les débats actuels sur la question du viol. Or, la présidente de la délégation vient de me transmettre, suivant la procédure que nous appliquons depuis plus de deux ans, un projet de communiqué de presse dont je vous fais distribuer le texte, et qui pourrait, si vous en êtes d'accord, être diffusé dès cet après-midi.