a déclaré qu'il a choisi pour ligne de conduite générale dans l'exercice de ses fonctions, le respect du principe de transparence la plus totale, car il s'agit du préalable indispensable à la confiance de nos concitoyens. Cela est vrai sur des sujets épineux et complexes comme les infections nosocomiales. Il en va de même pour les comptes rendus des travaux de la commission d'AMM : l'existence des opinions minoritaires doit être prise en compte, ainsi que leur audience parmi les membres de la commission. Il a fait valoir enfin que ni la directive, ni le règlement précités n'ont intégré la notion de valeur thérapeutique ajoutée.