a estimé que les responsables de l'industrie pharmaceutique ne sont sûrement pas dépourvus de tout sens des responsabilités et rappelé qu'ils prennent un risque à chaque commercialisation de nouvelle molécule, ne serait-ce qu'en engageant la réputation et l'image de leur entreprise. Il a fait valoir que, sur 9.000 dossiers examinés par an, seuls, 4 % appellent des observations de l'Afssaps et une vingtaine fait l'objet d'une interdiction.