a rappelé que les promesses de dons formulées lors de la Conférence de Paris sur la Palestine s'étaient élevées à 7 milliards de dollars, chiffre sans comparaison avec la modestie des projets en cours évoqués par le ministre, tant à Gaza qu'en Cisjordanie. Il en a conclu que ces projets se heurtaient à un refus politique implicite d'Israël et a souhaité que la future présidence française de l'Union européenne puisse contribuer à une sortie de l'impasse actuelle. Il a estimé que le développement de la future Union pour la Méditerranée nécessitait une évolution au Proche-Orient. Il s'est enfin interrogé sur le sort du jeune franco-palestinien Salah Hamouri, incarcéré depuis trois ans sans jugement.