a ensuite questionné les intervenants sur l'impact de la libéralisation du secteur de l'énergie sur le niveau des prix ces dernières années, sur les conséquences tarifaires de l'ouverture du marché à la concurrence, sur la possibilité pour l'Etat de conserver le contrôle du groupe à travers des instruments tels que la golden share ou la minorité de blocage, sur la méthode ayant permis à la CGT d'estimer à 20 000 le nombre de pertes d'emplois potentielles, sur la façon dont le projet de loi traitait des 60 000 salariés travaillant dans des services communs et sur le risque que la Commission européenne préconise la mise en concurrence de la distribution de gaz et d'électricité, dont le monopole repose sur une loi de 1946.