J'apprécie que vous tentiez de répondre au problème de ces jeunes dans le cadre d'une institution scolaire publique, en un moment où l'éducation nationale réduit ses effectifs et, finalement, a tendance à externaliser tous ses problèmes. Ces enfants ont besoin de se remettre à grandir, à construire une estime dans une relation sociale. Le volontariat, tant des enseignants de vos petits établissements autonomes que des élèves, est un point décisif. M. Blanquer, devenu directeur général de l'enseignement scolaire, avance l'idée de créer un Microlycée par département. Je sens que vous êtes un peu réticent. Pourquoi ? À cause du volontariat ?