Que se passe-t-il en cas d'absence prolongée des élèves ?
Il y a aussi des « classes relais », au sein des collèges, pour les jeunes qui refusent l'école. Ces classes sont à effectifs réduits et disposent d'un enseignant de l'éducation nationale et d'un autre financé par le conseil général. Il y a là la même volonté d'une pratique différente.
De même, les élèves en encore plus grande difficulté - qui ont commis des délits par exemple - sont pris en charge par des structures cofinancées par l'éducation nationale et le conseil général. L'enseignement y est aussi associé à l'éducation et l'enfant est l'objet d'un suivi personnalisé. Mais ces structures sont maintenant en difficulté du fait de la suppression de nombreux postes par l'éducation nationale.