a observé que les différentes réformes de la fiscalité locale avaient en effet jusqu'à présent obéi à des considérations économiques ou sociales, certes légitimes, mais faisant fi de l'autonomie fiscale des collectivités territoriales. Il a évoqué le poids et l'effet déresponsabilisant, pour les élus, des dégrèvements d'impôts locaux institués par l'Etat.