a relevé que l'étude du Cabinet Ernst & Young ne présente pas un tableau aussi favorable de la compétitivité de la France. Ainsi, le nombre de nouveaux projets a reculé de 3 % alors que l'Allemagne a enregistré 28 % de nouvelles implantations. La contribution à l'emploi des investissements étrangers place le Royaume-Uni en tête avec 20 000 créations d'emplois, la Pologne en seconde position, avec un chiffre de 15 500 et, ensuite, la France avec 13 000 créations. Par ailleurs, il s'est interrogé sur le profil de formation des 70 chargés de missions implantés à l'étranger, considérant que ce critère est fondamental dans la prospection des nouveaux investisseurs. A cet égard, il a indiqué qu'Ubifrance a dû récemment adapter la formation de ses agents aux nouvelles pratiques de la compétition internationale. Revenant sur les mauvais résultats du commerce extérieur, dus à une inadaptation de la production nationale à la demande mondiale, il a souhaité savoir si l'AFII procède à la prospection des marchés nouveaux.