a regretté que la mauvaise perception à l'étranger du système fiscal français soit souvent due à des malentendus. Ainsi, le mauvais classement de la France au « tax misery index » édité par le magazine Forbes est lié à une lecture de la valeur faciale des taux d'impositions. Or, si le taux marginal de l'impôt sur les sociétés est élevé, son mode de calcul le situe dans la moyenne internationale.
Développant une analyse comparative de l'attractivité des principaux pays européens, il a indiqué que l'agence consacre un effort tout particulier en direction de l'Allemagne, ce pays étant le premier investisseur européen en France et le deuxième pourvoyeur d'emploi.
Revenant sur le recensement des emplois créés ou maintenus, il a reconnu que la méthodologie employée par l'AFII, identique à celle des agences des principaux pays européens, ne prend pas en compte les suppressions de postes et ne fournit donc pas le nombre des créations nettes d'emplois.