En réponse à M. Aymeri de Montesquiou, il a regretté que la demande tendant à « ventiler » par types d'investissements le montant global des IDE ne puisse être satisfaite pour le moment. En effet, une présentation affinée des IDE nécessite le lancement d'une réflexion commune avec la Banque de France et le ministère des finances, de l'industrie et de l'emploi. Ensuite, s'appuyant sur la propension plus forte des entreprises étrangères à exporter, il a confirmé que la part de 35 % à 40 % que celles-ci prennent dans les exportations françaises ne concerne que les produits manufacturés. A titre d'illustration, il a évoqué le cas de la société Bombardier Transport dont 85 % de la production française est vendue à l'étranger.