Quelles garanties avons-nous que les projets prévus par ce SNIT ne subiront pas le même sort que ceux de 2003, c'es-à-dire l'abandon faute d'argent ?
Quelles mesures sont prévues pour développer enfin les autoroutes de la mer ?
Comme M. Jean-Paul Alduy, je suis choqué que la France n'ait pas demandé la participation de l'Union européenne pour la construction du chaînon manquant de la LGV entre Montpellier et Perpignan, qui nous avait déjà été promise par la mission Querrien en 1990. Faudra-t-il quarante ans pour faire aboutir ce projet ? Je rappelle que ce tronçon figure dans le plus grand axe à grande vitesse d'Europe, qui relie la France à Barcelone, Madrid et Séville !