a reconnu que le Gouvernement consentait pour 2007 à un effort significatif en faveur des monuments historiques, la hausse de 3 % des crédits de paiement étant complétée par une ressource complémentaire de 70 millions d'euros, dont il convenait de garantir la pérennisation : il a souhaité des précisions quant au montant et aux modalités d'affectation des crédits annoncés.
Il s'est demandé si la stabilité de la ressource affectée au Centre des monuments nationaux n'aurait pas été mieux garantie, si elle avait été définie, non par un montant absolu sujet à révision, mais par un pourcentage fixe d'une recette fiscale susceptible par ailleurs d'une évolution dynamique.