a estimé qu'un tel complément avait sa raison d'être compte tenu des conditions particulières de vie outre-mer, le coût de certains produits courants pouvant y être parfois dix fois plus élevé qu'en métropole, et qu'il ne constituait en rien un « privilège » qu'il conviendrait d'abolir.
Il a néanmoins reconnu la nécessité de parvenir à un dispositif pertinent et efficace, un tel résultat ne pouvant intervenir qu'en vertu d'une méthode et d'un calendrier qui associeraient l'ensemble des parties concernées par cette question. Il a jugé que le dispositif actuel ne saurait, en tout état de cause, être modifié par la voie d'un amendement à l'actuel projet de loi de finances.