a rappelé que les 15.000 suppressions d'emplois correspondaient toutes à des non-recrutements après des départs à la retraite. S'il a reconnu que les emplois dans l'enseignement du second degré seraient moins nombreux en 2007, en raison d'une baisse de 30.000 du nombre des élèves, il a souligné qu'à l'inverse, les effectifs de l'enseignement du premier degré et de l'enseignement supérieur progresseraient.