a demandé :
- si le rapprochement police-gendarmerie ne risquait pas de créer un emballement des revendications statutaires et indemnitaires ;
- si les différences de niveau de gestion -la zone de défense pour la police et la région pour la gendarmerie- ne rendaient pas plus difficiles les mutualisations ;
- s'il était prévu de créer un tronc commun pour la formation initiale des policiers et des gendarmes ;
- si l'on disposait de données précises sur le nombre de policiers et gendarmes affectés à des tâches administratives et techniques.