Se félicitant du soutien accru au secteur ovin et de la prise en compte du rapport qu'il avait rédigé sur le sujet avec M. Gérard Bailly, M. François Fortassin a relativisé l'effort contributif demandé aux exploitants en grandes cultures, faisant observer que les « maïsiculteurs » de son département étaient régulièrement en tête des revenus agricoles alors que les éleveurs bovins étaient les plus défavorisés de ce point de vue. Appelant à développer les circuits courts, qui rencontrent un certain succès mais par le seul bouche-à-oreille, il a estimé nécessaire de les faire davantage connaître et d'y fixer des normes de qualité.