a indiqué qu'en Charente-Maritime les habitants des maisons situées en zones de solidarité qui souhaitaient partir étaient plutôt satisfaits des premières propositions financières qui leur étaient faites. Le climat reste toutefois tendu car nombre de personnes ne comprennent pas que des maisons, parfois plus que centenaires, puissent être appelées à la destruction. Les avocats recrutés par des associations d'habitants se manifestent également beaucoup, tandis que la Préfecture reste arc-boutée sur les zones de solidarité déjà définies, considérant que des maisons ne peuvent rester isolées dans des zones où de nombreuses autres seraient détruites.