a envisagé la réactivation d'une disposition du code de l'urbanisme relative au droit de délaissement d'une habitation, qui marquait un acte de volonté du propriétaire suivi d'une obligation d'acquisition par l'Etat.
Concernant le volet de protection et les digues, M. Bruno Retailleau, président, a souligné que les digues protégeant les habitations existantes devaient être dimensionnées pour faire face aux risques. Il a ajouté que le contrôle de légalité était déficient et que celui-ci devait être rendu systématique pour les constructions dans des zones à risques.