A la suite de cette intervention, M. Jean François-Poncet, président, a souhaité faire plusieurs observations.
Tout d'abord il a constaté que le projet de regrouper dans un site unique, appelé « Maison de la Francophonie », l'ensemble des organisations de la francophonie ayant leur siège dans la capitale n'était contestée par personne, étant donné qu'il permettra de donner une visibilité accrue à la francophonie, de rationaliser les coûts de fonctionnement et de favoriser le travail en commun de tous les opérateurs.
Ensuite, il a indiqué que M. Adrien Gouteyron est parfaitement dans son rôle de rapporteur spécial de la mission « Action extérieure de l'Etat » pour la commission des Finances lorsqu'il s'interroge sur le choix de l'implantation, le montant des travaux et la maîtrise d'ouvrage déléguée retenue pour l'installation de la Maison de la Francophonie.
a aussi relevé qu'il ressortait de l'intervention de la rapporteure qu'en réalité, le ministère de l'Ecologie et du Développement durable était directement responsable du retard pris dans la réalisation des travaux. Il s'est d'ailleurs étonné que les services de ce ministère n'aient toujours pas déménagé malgré la présence d'amiante dans le bâtiment en question.
En conclusion, M. Jean François-Poncet, président, a invité Mme Catherine Tasca, rapporteure, à continuer de suivre attentivement cette affaire et à tenir régulièrement informée la commission des évolutions de ce dossier.