En réponse, Mme Catherine Tasca, rapporteure, a indiqué que son propos n'avait pas pour objet de contester l'intervention de M. Adrien Gouteyron, qui était dans son rôle de rapporteur spécial de la mission « Action extérieure de l'Etat ». Il convient cependant de tenir compte des engagements internationaux de la France, concrétisés par convention signée entre le gouvernement et l'Organisation internationale de la Francophonie.
Par ailleurs, Mme Catherine Tasca, rapporteure, a indiqué que le fait que cette implantation soit située à proximité immédiate de l'UNESCO avait du sens, compte tenu de l'importance de la francophonie pour la promotion de la diversité culturelle, comme l'ont illustré les débats autour de la convention de l'UNESCO sur la diversité culturelle.
En définitive, pour Mme Catherine Tasca, rapporteure, le choix d'installer ou non la Maison de la Francophonie dans le bâtiment situé au 20, avenue de Ségur devrait dépendre de la décision qui sera prise de réinstaller ou non les services du ministère de l'Ecologie et du Développement durable dans le même bâtiment.