directeur, adjoint au directeur général de l'urbanisme, de l'habitat et de la construction, a précisé sur ce point qu'à la suite de l'adoption de la loi n° 2007-254 du 27 février 2007, des orientations générales d'urbanisme avaient été fixées par décret et qu'elles devraient permettre à l'Etat de mettre en oeuvre des programmes d'intérêts généraux.
Il a estimé que le choix de construire un quartier sur dalle représentait un vice structurel, dans la mesure où il rendait très difficile le respect des frontières communales. Il a noté que la logique de retour au droit commun, qui avait marqué l'histoire de la Défense dans les années 1990, s'était heurtée à l'obsolescence des équipements et des constructions. Il a souligné que le plan de renouveau constituait une véritable rupture, intégrant de nombreuses opérations de démolition-reconstruction, la séparation des fonctions d'aménagement et d'exploitant et la clarification des relations entre l'EPAD et l'Etat dans la maîtrise d'ouvrage.
Il a enfin considéré que, d'un point de vue purement économique, il était normal que les recettes tirées de l'aménagement participent au financement des infrastructures.