a reconnu que les règles de fonctionnement de l'EPAD étaient caractérisées à l'origine par un grand empirisme et qu'un mouvement de régularisation était en cours. Elle a admis que les tutelles avaient été parfois trop indécises, mais elle a observé qu'elles étaient parfois mal informées par l'EPAD.
S'agissant de la normalisation du plan comptable, elle a estimé que 95 % des travaux étaient déjà réalisés, souhaitant que l'établissement puisse présenter des comptes satisfaisants pour le 31 décembre 2007.